C’est un lundi, un mardi, un mercredi, un jeudi, un vendredi, un samedi ou un dimanche tard dans la nuit.
Il est disons… 3h du matin.
Vous avez fait la fermeture de plusieurs établissements déjà. Mais vous n’êtes pas fatigués, non vraiment pas. Vous voulez continuer à boire, à rire, à boire encore et encore… *
Vous ne savez pas où vous diriger. Tous les bars ferment, les uns après les autres.
Vous commencez à paniquer. A renoncer peut-être même : « Allons nous coucher, on trouvera plus rien d’ouvert à cette heure là. Et puis y a école demain… »
Ne cédez pas à la voix de la raison.
Remontez le Prinsengracht. Au numéro 96 -soit un peu plus haut que la maison d’Anne Frank-, passez la porte du petit café brun et autorisez-vous l’ivresse jusqu’à des heures indues.
NB : la journée, il y a une jolie terrasse ouverte sur la péniche devant.
Adresse : Prinsengracht 96
* (c’est pas bon pour la santé, on vous aura prévenu…)








